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les tubes intemporels


Daniel Balavoine : qui est l'Aziza, de son tube culte (téléstar.fr)

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En 1985, Daniel Balavoine écrit et compose l'Aziza, un des titres de l'album Sauver l'amour. Une chanson dans laquelle il rend hommage à Corinne son épouse d'origine juive

"L'Aziza si tu crois que ta vie est là il n'y a pas de loi contre ça" chantait Daniel Balavoine en 1985. Plus de trente après la sortie du titre, écrit et composé pour figurer sur l'album Sauver l'amour, les paroles résonnent encore dans toutes les têtes. Une chanson engagée, un acte militant contre le racisme, mais aussi une déclaration d'amour que Daniel Balavoine a tenu à faire pour son épouse Corinne, d'origine juive qu'il a rencontré lors de l'enregistrement de l'album Vendeurs de larmes en 1982.

Un "cri spontané" selon Didier Varrod auteur d'un ouvrage sur le chanteur, dans un contexte où le Front National effectue alors une forte percée, dans une France portée par la gauche de François Mitterrand.

Artiste engagé, Daniel Balavoine décide alors de crier haut et fort son amour pour la femme de sa vie : "Je vis avec une femme qui est juive marocaine. Aussi lorsque j'entends certaines personnes dire qu'il faut foutre dehors les immigrés, j'ai peur qu'on me l'enlève" déclarait-il lors de la sortie de la chanson. 

Si le succès est au rendez-vous, sa mort le 14 janvier 1986 boostera considérablement les ventes du disque. Ainsi le 1er février 1986, L'Aziza se hisse à la première place du Top 50 et y restera durant huit semaines de suite.

Quant à Corinne, qui est également la maman de Jérémie et Joana, les deux enfants de Daniel Balavoine, elle préfère  rester discrète depuis sa disparition et a refait sa vie en épousant Serge Khalfon au début des années 2000.

 



09/09/2017
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Scorpions - Wind Of Change 1990

"Wind of change", la chute du Mur avait trouvé sa bande originale:

 

 

Quelques notes sifflotées, une voix haut perchée qui entonne "En remontant la Moskova" et l'obligatoire solo de guitare: vingt ans après, le groupe allemand The Scorpions se souvient comment il a composé la ballade qui devait symboliser la chute du Mur de Berlin.

"Wind of change" (Vent du changement) ne trouve pourtant pas son origine entre Berlin-Est et Berlin-Ouest, mais à Moscou, en août 1989, se souvient Klaus Meine, chanteur-compositeur.

The Scorpions, en pleine gloire, participent alors à un festival de rock avec d'autres groupes occidentaux.

"L'Armée Rouge était devant la scène pour faire la sécurité et nous tournait le dos. Quand nous sommes arrivés (...) ils se sont retournés vers nous et n'ont plus fait qu'un avec les fans, ils ont lancé leurs casquettes en l'air", raconte à l'AFP le chanteur, le visage ridé mais fidèle à son pantalon de cuir, à son béret et à son foulard à têtes de mort.

"En rentrant à la maison nous avions le sentiment d'avoir vu le monde changer sous nos yeux. +Wind of change+ est né peu après", explique-t-il dans une petite salle tapissée de disques d'or à Hanovre (nord), la ville d'origine du groupe.

La ballade, qui ne sort qu'en 1990, devient un tube international, au point d'être en 1991 la chanson la plus vendue au monde. "On se promenait sur les Champs Elysées à Paris pour faire du shopping et Wind of change sortait de chaque magasin", se rappelle Klaus Meine.

Et son statut de "bande originale" de la chute du Mur est consacré en 1999: lors des cérémonies pour le dixième anniversaire, les rockeurs jouent leur tube accompagnés de 160 violoncellistes, sous la baguette de Rostropovitch.


L'image du virtuose russe jouant Bach au pied du Mur, peu après sa chute, avait fait le tour du monde en 1989.

Au moment historique de l'ouverture du Mur, The Scorpions étaient à Paris, raconte Rudolf Schenker, le guitariste du groupe, qui a troqué sa moustache et sa permanente des années 1980 pour des lunettes miroir et une coupe savamment ébouriffée.

"Nous étions aux Bains-Douches", célèbre discothèque parisienne, "Klaus regardait par-dessus mon épaule une télé qui était au bar et m'a tout à coup dit "Hé regarde, c'est pas le Mur? il y a des gens sur le Mur!", se souvient-il.

Du temps de la guerre froide, The Scorpions, groupe préféré des Allemands selon un sondage paru en juin dernier, n'ont jamais pu jouer en RDA. Trop provocateurs peut-être, avec leur dégaine en cuir et cheveux longs, leurs textes exclusivement en anglais, leurs albums provocateurs tels que "Virgin Killer" (Tueur de vierges), leurs slows langoureux à la "Still loving you".

Leurs fans d'Allemagne de l'Est en étaient réduits à se déplacer en masse pour voir leurs idoles à Budapest ou encore Leningrad (aujourd'hui Saint-Pétersbourg), dormant sur les pelouses "parce qu'ils n'avaient pas le droit de changer assez d'argent pour se payer l'hôtel", se souvient Rudolf Schenker.

Sur l'Allemagne d'aujourd'hui, Klaus Meine, ami de l'ancien chancelier social-démocrate Gerhard Schröder, porte un regard mitigé.

"A l'Ouest comme à l'Est nous avons tendance à oublier ce qu'était notre passé", estime-t-il.

"Il faut se retourner et se dire tout ne s'est pas passé aussi parfaitement que prévu, mais (...) le fait que le Mur est tombé, que les gens sont libres, que plus personne ne doit mourir pour vivre en liberté, c'est quelque chose d'irréversible", martèle-t-il.

© 2009 AFP


22/04/2017
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Angie: Rolling stones 1973

Angie est une chanson des Rolling Stones parue en 1973 sur l'album Goats Head Soup. Sortie en single en août 1973, elle se classe numéro 1 des ventes aux États-Unis et dans plusieurs autres pays, et numéro 5 au Royaume-Uni. Elle reste l'une des ballades les plus connues du groupe, systématiquement interprétée en concert depuis 1982.

Diverses interprétations de la chanson la considèrent comme adressée à Angela Bowie, l'épouse du chanteur David Bowie, ou à Anita Pallenberg, la compagne de Keith Richards. Ce dernier déclare que le prénom est en fait celui de sa fille Angela, née en 1972. Cette chanson qui parle d'une rupture douloureuse est en fait à double sens, elle a été écrite par Keith Richards alors en pleine cure de désintoxication à l'héroïne, comme il l'écrit lui-même dans ses mémoires.

 

(Wikipédia)

 


19/03/2017
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Da Ya Think I'm Sexy? Rod Stewart 1978

Ce titre fut à l'époque le single le plus vendu de l'histoire du rock.

 

Da’ Ya’ Think I’m Sexy est la premier extrait du neuvième album de Rod Stewart, Blondes Have More Fun, sorti le 24 novembre 1978.

Pour ce titre, écrit à l’époque par Carmine Appice, le nouveau batteur de Rod Stewart, le chanteur, qui puisait pourtant dans des racines rock, prend un tour résolument disco. C’est aussi à cette époque que l’artiste a commencé à porter des pantalons en spandex.

 
 

Pour l’écriture de ce morceau, Rod Stewart a expliqué ne pas avoir forcément voulu surfer sur la vague disco, qui était évidemment le genre musical à la mode à la fin des années 70. A l’époque de l’enregistrement, c’est le Miss You des Rolling Stones qui lui a donné envie d’aller plus loin musicalement.

 

Le chanteur a eu beaucoup de problèmes avec ce titre, tellement qu’il confie dans son autobiographie avoir pensé qu’il était maudit. En effet, Da’ Ya’ Think I’m Sexy présente de nombreuses similitudes, voire plagie complètement le titre de Jorge Ben, Taj Mahal, sorti en 1972.

 


 

La mélodie du synthétiseur s’inspire largement de celle des instruments à cordes que l’on peut entendre sur le titre de Bobby Womack If You Want My Love, Put Something Down On It.

 
 
 

Rod Stewart aurait de plus assisté à un concert du musicien au Brésil, avant la composition de Da’ Ya’ Think I’m Sexy. Quand il s’est retrouvé accusé, il a plaidé le “plagiat inconscient” et a offert l’intégralité des royalties à l’UNICEF.

 

Ce morceau, devenu l’un des plus célèbres de Rod Stewart, a atteint la 308ème place dans le classement du magazine Rolling Stones des 500 plus grands morceaux de tous les temps

 

 

Paris Hilton, dans un grand moment d’inconscience, a repris ce titre en 2006 pour son premier album, sobrement intitulé Paris.

 
 
 

 

 
 
 

04/03/2017
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Get Lucky: Daft Punk 2013

 

Get Lucky est le premier single extrait de l'album Random Access Memories du groupe Daft Punk, coécrit et interprété en collaboration avec Pharrell Williams et Nile Rodgers.

 

Avant son lancement officiel, le single Get Lucky est présenté lors du Saturday Night Live et au Coachella Festival. Acclamé par les critiques spécialisées, le titre rencontre un succès international important en se retrouvant no 1 dans de nombreux pays durant l'été 2013.

 

La seule représentation live de la chanson, par les Daft Punk, Pharrell Williams, Nile Rodgers et tous les musiciens présents sur l'enregistrement original accompagnés de Stevie Wonder, a lieu lors de la 56e cérémonie des Grammy Awards au Staples Center de Los Angeles le 26 janvier 2014, où Get Lucky remporte deux récompenses : « enregistrement de l'année » et « meilleur duo pop/performance de groupe ». Les Chœurs de l'Armée rouge l'interprètent pour la Cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques 2014.

 

 

 

Daft Punk rencontre pour la première fois Nile Rodgers à New York en 2001, lors d'une présentation de l'album Discovery. Une complicité naît rapidement entre eux. Le duo reconnaît d'ailleurs l'influence du groupe Chic (dont Nile Rodgers est un des membres fondateurs) dans la chanson Around the World, et ont un profond respect pour cet artiste. La collaboration n'a cependant pas été immédiate, à cause notamment de problèmes de calendriers respectifs. Le duo invite finalement Rodgers à venir enregistrer au Electric Lady Studios, qui est le studio dans lequel le groupe Chic enregistra son premier album.

 

Pharrell Williams entend parler pour la première fois du projet de Daft Punk à une fête organisée par Madonna, et propose alors au duo sa collaboration. Le duo et Pharrell se rencontrent plus tard à Paris, où ce dernier présente une partie de son propre travail. Pharrell explique alors qu'il a été influencé par Nile Rodgers, sans savoir que Daft Punk avait déjà enregistré avec ce dernier. Après avoir entendu Get Lucky, Pharrell fait remarquer que la musique évoque une île exotique durant un lever de soleil. Il précise que le titre ne se réfère pas seulement à l'acte sexuel, mais également à la rencontre, et à la connexion immédiate entre les personnes.

 

(source: Wikipédia, You tube)


21/02/2017
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Another brick in the wall: Pink Floyd 1979

 

 

Another Brick in the Wall est un des titres les plus célèbres des Pink Floyd, composé par Roger Waters autour d'un même thème musical. Les trois parties figurent sur l'album The Wall paru le . Respectivement sous-titrées Part 1, Part 2 et Part 3, ces chansons sont importantes dans le concept de l'album, puisqu'elles marquent la construction du mur derrière lequel s'enferme Pink, le personnage principal de l'album.

 

Another Brick in the Wall Part 2 est la cinquième chanson de l'album, et est aussi la plus célèbre des trois parties d'Another Brick in the Wall. Elle est parue en single quinze jours avant la sortie de l'album. On parle ici de la rigidité des règles dans les écoles dans les années 1950.

 

Le tempo disco a été suggéré par le producteur Bob Ezrin. C'était inattendu de la part de Pink Floyd, qui était réputé pour sa musique faite pour être écoutée, et non pour être dansée. Ezrin en a eu l'idée après avoir écouté le musicien disco Nile Rodgers à New York

 

 Pour cette chanson, le groupe a fait appel à une chorale scolaire, composée de 23 adolescents âgés de 13 à 15 ans.

 

Another Brick in the Wall est une chanson contestataire, ou « protest song », qui dénonce la rigidité des règles scolaires en général, et celle des internats en particulier, avec la phrase « We don't need no education » (« Nous n'avons pas besoin d'éducation »). Elle reflète la vision de Roger Waters sur l'enseignement conventionnel ; il détestait ses professeurs de collège et pensait que ces derniers étaient davantage intéressés par le fait de faire régner la discipline que par celui de transmettre des connaissances aux élèves. Ici, l'expression « another brick in the wall » (« une autre brique dans le mur ») se rapporte à l'image du professeur, qui est donc perçu comme l'un des facteurs déclenchants de l'isolement mental de Pink, le héros de l'histoire contée dans l'album1.

 

En 1980, en Afrique du Sud, la chanson fut adoptée comme hymne contestataire par des étudiants noirs protestant contre l'apartheid qui sévissait alors dans les écoles du pays, et fut par conséquent officiellement interdite par le gouvernement sud-africain le 2 mai de la même année, pour motif d'incitation à l'émeute9.

 

Cette partie constitue la plus connue des trois parties du morceau, du fait de sa sortie en single, qui l'a propulsée en première place des hit-parades au Royaume-Uni, aux États-Unis et dans de nombreux pays. Le single est sorti en et fut le dernier no 1 des années 1970 au Royaume-Uni.

 

Another Brick in the Wall (Part 2) fut placé au rang #375 sur la liste des 500 plus grandes chansons de tous les temps établie par le magazine Rolling Stone en 2003.

 

En France, le titre s'est classé no 1 du hit-parade durant cinq semaines à partir du .

 

(source: Wikipédia)

 

Version  mix  des parties 1, 2 et 3.

 

 

 

 

Sur le même album: "The Wall", un autre tube.

 

 

 

The Wall est aussi sorti en film en 1982.

 

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Dans sa chambre d'hôtel, la star du rock'n roll Pink (Bob Geldof) regarde inlassablement un film de guerre et se souvient. Enfant (Kevin McKeon), il a perdu son père (James Laurenson) mort sur les champs de bataille, et fut élevé par sa mère (Christine Hargreaves) surprotectrice. Broyé comme les autres enfants par l'écrasant système scolaire, il était ridiculisé pour sa sensibilité poétique par son professeur (Alex McAvoy), lui-même victime de l'autorité de son épouse (Margery Mason). En grandissant, Pink s'est construit un mur l'isolant de plus en plus des autres. Lorsque, déprimé, Floyd appelle sa femme (Eleanor David) qu'il a par trop négligée, c'est l'amant (James Hazeldine) de celle-ci qui répond... L'œil rivé sur le petit écran, l'artiste ne se montre guère plus enthousiaste envers la groupie (Jenny Wright) qu'il a ramenée. Pris d'une crise soudaine, il dévaste sa suite richement meublée. Avec les débris, il recompose une étrange décoration. Puis il se rase le visage, le corps et les sourcils. Forçant sa porte, son manager (Bob Hoskins) et le gérant de l'hôtel (Michael Ensign) le trouvent défoncé. Avec l'aide d'un médecin (Robert Bridges), ils extirpent le chanteur de sa torpeur à grand renfort de remontants, et des assistants le traînent jusqu'à la scène. Débarquant à la tête d'une meute de skinheads, il est ovationné par son public pour ses démonstrations fascisantes. Puis, réduit à l'état d'une poupée de chiffon, il est jugé dans un procès présidé par un gigantesque ver. Suite aux témoignages de ses épouse, maître et mère, il est condamné à abattre le mur dans lequel il s'est enfermé peu à peu. (ciné clap)

 

 

Voici un extrait:



18/02/2017
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