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Another brick in the wall: Pink Floyd 1979

 

 

Another Brick in the Wall est un des titres les plus célèbres des Pink Floyd, composé par Roger Waters autour d'un même thème musical. Les trois parties figurent sur l'album The Wall paru le . Respectivement sous-titrées Part 1, Part 2 et Part 3, ces chansons sont importantes dans le concept de l'album, puisqu'elles marquent la construction du mur derrière lequel s'enferme Pink, le personnage principal de l'album.

 

Another Brick in the Wall Part 2 est la cinquième chanson de l'album, et est aussi la plus célèbre des trois parties d'Another Brick in the Wall. Elle est parue en single quinze jours avant la sortie de l'album. On parle ici de la rigidité des règles dans les écoles dans les années 1950.

 

Le tempo disco a été suggéré par le producteur Bob Ezrin. C'était inattendu de la part de Pink Floyd, qui était réputé pour sa musique faite pour être écoutée, et non pour être dansée. Ezrin en a eu l'idée après avoir écouté le musicien disco Nile Rodgers à New York

 

 Pour cette chanson, le groupe a fait appel à une chorale scolaire, composée de 23 adolescents âgés de 13 à 15 ans.

 

Another Brick in the Wall est une chanson contestataire, ou « protest song », qui dénonce la rigidité des règles scolaires en général, et celle des internats en particulier, avec la phrase « We don't need no education » (« Nous n'avons pas besoin d'éducation »). Elle reflète la vision de Roger Waters sur l'enseignement conventionnel ; il détestait ses professeurs de collège et pensait que ces derniers étaient davantage intéressés par le fait de faire régner la discipline que par celui de transmettre des connaissances aux élèves. Ici, l'expression « another brick in the wall » (« une autre brique dans le mur ») se rapporte à l'image du professeur, qui est donc perçu comme l'un des facteurs déclenchants de l'isolement mental de Pink, le héros de l'histoire contée dans l'album1.

 

En 1980, en Afrique du Sud, la chanson fut adoptée comme hymne contestataire par des étudiants noirs protestant contre l'apartheid qui sévissait alors dans les écoles du pays, et fut par conséquent officiellement interdite par le gouvernement sud-africain le 2 mai de la même année, pour motif d'incitation à l'émeute9.

 

Cette partie constitue la plus connue des trois parties du morceau, du fait de sa sortie en single, qui l'a propulsée en première place des hit-parades au Royaume-Uni, aux États-Unis et dans de nombreux pays. Le single est sorti en et fut le dernier no 1 des années 1970 au Royaume-Uni.

 

Another Brick in the Wall (Part 2) fut placé au rang #375 sur la liste des 500 plus grandes chansons de tous les temps établie par le magazine Rolling Stone en 2003.

 

En France, le titre s'est classé no 1 du hit-parade durant cinq semaines à partir du .

 

(source: Wikipédia)

 

Version  mix  des parties 1, 2 et 3.

 

 

 

 

Sur le même album: "The Wall", un autre tube.

 

 

 

The Wall est aussi sorti en film en 1982.

 

the wall.jpg

 

Dans sa chambre d'hôtel, la star du rock'n roll Pink (Bob Geldof) regarde inlassablement un film de guerre et se souvient. Enfant (Kevin McKeon), il a perdu son père (James Laurenson) mort sur les champs de bataille, et fut élevé par sa mère (Christine Hargreaves) surprotectrice. Broyé comme les autres enfants par l'écrasant système scolaire, il était ridiculisé pour sa sensibilité poétique par son professeur (Alex McAvoy), lui-même victime de l'autorité de son épouse (Margery Mason). En grandissant, Pink s'est construit un mur l'isolant de plus en plus des autres. Lorsque, déprimé, Floyd appelle sa femme (Eleanor David) qu'il a par trop négligée, c'est l'amant (James Hazeldine) de celle-ci qui répond... L'œil rivé sur le petit écran, l'artiste ne se montre guère plus enthousiaste envers la groupie (Jenny Wright) qu'il a ramenée. Pris d'une crise soudaine, il dévaste sa suite richement meublée. Avec les débris, il recompose une étrange décoration. Puis il se rase le visage, le corps et les sourcils. Forçant sa porte, son manager (Bob Hoskins) et le gérant de l'hôtel (Michael Ensign) le trouvent défoncé. Avec l'aide d'un médecin (Robert Bridges), ils extirpent le chanteur de sa torpeur à grand renfort de remontants, et des assistants le traînent jusqu'à la scène. Débarquant à la tête d'une meute de skinheads, il est ovationné par son public pour ses démonstrations fascisantes. Puis, réduit à l'état d'une poupée de chiffon, il est jugé dans un procès présidé par un gigantesque ver. Suite aux témoignages de ses épouse, maître et mère, il est condamné à abattre le mur dans lequel il s'est enfermé peu à peu. (ciné clap)

 

 

Voici un extrait:




18/02/2017
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